Crime choquant en Russie. Un prêtre a tué sa femme et l’a démembrée. Les enfants ont trouvé sa tête dans le frigo

Un crime horrible a été découvert en Russie. La presse parle d’un prêtre de Cronstadt, une ville située près de Saint-Pétersbourg, qui a sauvagement tué sa femme. Les détails sont choquants. L’homme, un prêtre respecté de la communauté, a coupé en morceaux sa femme décédée.

Prêtre Mihail Zubarev lors d'un service religieux.  Photo : mk.ru

Prêtre Mihail Zubarev lors d’un service religieux. Photo : mk.ru

Les enfants ont retrouvé la tête de leur mère

Mikhaïl Zubarev, prêtre du temple Saint-Jean-le-Juste de Cronstadt à Nijnekamsk, était bien connu et très respecté dans la communauté. Ceux qui connaissaient sa famille n’avaient pas l’intuition une seconde qu’il y aurait des problèmes entre les deux époux.

On ne sait pas exactement ce qui a poussé l’homme à tuer sa femme, mais ses actes ont été commis avec une cruauté inhabituelle, écrit la presse russe. Le prêtre a d’abord poignardé à mort sa femme, puis, pour cacher les traces de ses atrocités, a démembré et tenté de cacher des parties du corps. La cruauté dont il a fait preuve est hors du commun, écrit la chaîne russe Telegram « Mash ».

Après l’avoir démembrée, l’homme a mis la tête de la femme au réfrigérateur. Les enfants des deux, un garçon de 17 ans et une fille de 8 ans, y ont retrouvé la tête de leur mère.

L’enquête est en cours.

Le curé aurait eu un accès de jalousie

« Selon nos informations, le prêtre Mikhaïl Zubarev a poignardé à mort sa femme, puis l’a démembrée. Il a caché la tête de la femme dans le réfrigérateur, là où leurs enfants l’ont trouvée. La veille, la police était arrivée sur les lieux du crime présumé. Jusqu’à présent, la version principale est la suivante : le pasteur a tué sa femme par jalousie. »rapporte Mash.

Le religieux Mihail Zubarev a quitté la région de Mourmansk pour s’installer à Kazan. En 2016, il a obtenu le droit de porter une croix pectorale (l’une des récompenses emblématiques du clergé) pour son travail fidèle pour le bien de l’Église.

Depuis 2019, il dirige le département du ministère pénitentiaire du diocèse de Chistopol. Selon les représentants de la métropole du Tatarstan, Zubarev est en congé de maladie depuis le 11 octobre.

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