Les exigences croissantes en matière d’autonomie énergétique des maisons familiales constituent littéralement une étape inévitable. Mais il est logique qu’ils entraînent en même temps une augmentation des coûts du bâtiment lui-même. Cependant, avec une conception efficace, nous pouvons réduire considérablement les coûts supplémentaires. L’une des étapes efficaces est le choix d’un vitrage adapté.
Le secteur actuel de la construction est fortement affecté par la mise en œuvre de la législation relative à l’efficacité énergétique des bâtiments. Depuis l’année dernière, elle s’est sensiblement durcie, représentée par une réduction significative de la valeur de l’énergie primaire, le bâtiment dit de référence selon la forme de l’enveloppe. Depuis cette année, le calcul est également devenu plus précis lors de l’utilisation de systèmes photovoltaïques.
« Aujourd’hui, nous évaluons le bâtiment que nous avons conçu avec un bâtiment dit de référence qui répond aux exigences de la norme », explique Ing. Martin Najman, chef de projet et technique de l’entreprise, l’un des plus grands fournisseurs de vitrages de notre pays.
Cinq maisons qui font tourner les têtes. Leurs auteurs n’avaient pas peur de se déchaîner
Qu’est-ce que cela signifie pour le constructeur en pratique ? Chaque maison a besoin d’une certaine quantité d’énergie pour se chauffer. Son impact écologique prend en compte le facteur énergie primaire non renouvelable, qui désavantage considérablement les ressources non renouvelables. Il peut sembler que la conception ne peut se passer de l’utilisation de sources renouvelables, comme une pompe à chaleur ou des systèmes photovoltaïques. Cela est vrai dans de nombreux cas.
Dans le même temps, il faut ajouter que la conception de la maison devient beaucoup plus complexe. L’évaluation est étroitement liée à l’enveloppe du bâtiment susmentionnée, c’est-à-dire aux apports solaires passifs grâce au vitrage. Les fenêtres représentent donc un aspect très intéressant de la conception qui peut améliorer considérablement le bilan énergétique global du bâtiment.
« Pour les fenêtres du bâtiment de référence, elles doivent répondre à l’exigence d’un facteur solaire d’au moins 0,5, soit une transmission d’énergie thermique d’au moins 50 pour cent, et la valeur du coefficient de transmission thermique de l’ensemble de la fenêtre Uw = 1,05 W. /m2K.
Mais concevoir avec de telles valeurs n’est pas la voie à suivre, car aujourd’hui les fenêtres offrent de bien meilleures propriétés, elles contribuent donc de manière très positive au bilan énergétique global du bâtiment », explique Martin Najman.
Meublez votre maison confortablement avec des coupons de réduction. La semaine shopping avec l’Agenda est là
Un très bon exemple est le vitrage IZOS ENERGY+. Grâce à ce type de placage unique, il utilise les gains de chaleur de l’énergie solaire et contribue ainsi à chauffer l’intérieur. Le triple vitrage IZOS ENERGY+ répond au mieux aux paramètres de base que nous attendons du verre isolant : il transmet la lumière et la chaleur de l’extérieur (le facteur solaire atteint une valeur de 64 %), tout en maintenant une très faible valeur Ug de transfert thermique du vitrage allant jusqu’à 0,5 W. /m²K. Il convient aussi bien aux constructions neuves qu’aux rénovations et permet les plus grandes économies d’énergie.
« Avec une certaine surface vitrée et une orientation adaptée de la maison, grâce aux apports solaires, on atteint un plus énergétique important, qui peut réduire considérablement le besoin de recourir à des sources de chaleur issues de sources renouvelables », explique Martin Najman.
L’exemple modèle de la maison modèle HELUZ montre comment le facteur de vitrage solaire en fonction de l’orientation du bâtiment affecte les coûts totaux de chauffage. Une fenêtre avec un facteur solaire supérieur à 0,6 peut permettre d’économiser plus de 20 % sur les coûts de chauffage.
Source : YouTube