Site icon Be.leomolenaar

C’est ce qui arrive aux Espagnols qui boivent un verre de vin chaque jour selon la science

L’Espagne est l’un des principaux pays consommateurs de , un chiffre très élevé qui devrait laisser penser qu’il est complètement normalisé.

En fait, nombreux sont ceux qui prétendent cela, mais la réalité est que Il n’existe aucune preuve scientifique pour étayer cette affirmation.

Il est vrai que le vin contient certains ingrédients aux propriétés potentiellement bénéfiques, comme des antioxydants, mais les risques liés à la consommation d’alcool ne peuvent être ignorés.

Y a-t-il des avantages à consommer du vin rouge ?

La consommation de vin rouge a été étudiée pour ses éventuels bienfaits pour la santé, notamment grâce aux antioxydants tels que les polyphénols et le resvératrol qu’il contient. Ces composés pourraient offrir certains avantages, comme l’amélioration de la santé cardiovasculaire et la lutte contre le stress oxydatif. Cependant, des recherches récentes, dont une, ont remis en question la croyance selon laquelle une consommation modérée d’alcool est bénéfique.

En réalité, les risques liés à la consommation d’alcool, tels que risque accru de certains cancers et maladies du foie, pourrait contrebalancer ces avantages potentiels. Il est donc important de considérer ces risques et de consulter un professionnel de la santé avant d’inclure le vin rouge dans le cadre d’un régime de santé.

Les effets sur la santé de boire un verre de vin chaque jour

L’une d’elles classe toutes les boissons alcoolisées, y compris le vin, parmi les produits à haut risque de certains types de cancer, comme le cancer du tractus intestinal inférieur et du larynx. De plus, il indique qu’il n’existe aucune preuve scientifique démontrant que la consommation d’alcool, même en petites quantités, est bénéfique pour la santé cardiovasculaire. De même, ce rapport indique que l’alcool a joué un rôle notable dans l’augmentation de maladies cardiovasculaires au cours des dernières décennies.

En outre, des spécialistes en endocrinologie et nutrition, comme Miguel Civera Andrés de la Société espagnole d’endocrinologie et nutrition (SEEN), soutiennent qu’il n’existe pas de niveau sûr de consommation d’alcool. Même de petites quantités peuvent augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, cancer, maladies du foie et du pancréasainsi que démence et troubles métaboliques.

D’autre part, bien que le vin rouge contienne des polyphénols, bénéfiques pour l’organisme, ces mêmes nutriments peuvent être obtenus à partir de sources plus saines et sans alcool, comme lui . De cette manière, les effets nocifs de l’alcool sont évités, tout en conservant les bienfaits des antioxydants.

Qu’est-ce qu’une consommation modérée d’alcool ?

Lorsqu’on parle de consommation d’alcool, cela dépend de ses caractéristiques physiologiques. Ainsi, pour les femmes, il est recommandé qu’ils ne boivent pas plus d’une unité d’alcool par jour, ce qui équivaut à un verre de vin, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas dépasser sept verres par semaine. Dans le cas des hommes, en revanche, ils peuvent doubler leur consommation, soit 14 par semaine (deux verres par jour).

Cependant, certains considèrent que ces recommandations sont chose du passé et qu’ils sont excessifs et contre-productifs pour la santé. Ce n’est peut-être qu’une question de temps avant que ces montants commencent à diminuer en Espagne, suivant ainsi la voie tracée par d’autres pays comme le Canada.

Malgré tout, il faut savoir que les études réalisées jusqu’à présent sur les quantités d’alcool et leurs effets sur la santé sont basées sur l’observation. Des études de cohortes randomisées, en double aveugle, sur cette consommation occasionnelle sont nécessaires pour atteindre conclusions définitives.

Ce qui est clair, c’est qu’en Espagne, les gens boivent trop d’alcool : jusqu’à 20 % de la population du pays en boit. dépasser les quantités d’alcool recommandées. Un fait pertinent est que la consommation régulière de boissons alcoolisées est directement responsable 4% des défunts dans notre pays. À cela s’ajoute sa présence comme facteur indirect de suicides, d’accidents vasculaires cérébraux, de relations sexuelles non consensuelles, d’accidents de la route et de multiples autres comportements à risque.

Suivez les sujets qui vous intéressent

Exit mobile version