Les chats abyssins, bengals et britanniques entendent souvent des épithètes qui leur sont adressées comme « méchantes » et « agressives ».
Des stéréotypes similaires existent pour toute autre race. Mais le caractère d’un chat est-il vraiment influencé en premier lieu par son appartenance à un Persan ou à un Sphynx ?
Voyons cela ensemble.
Pour trouver la réponse à la question qui nous intéresse, il n’est pas inutile de rappeler que lors de l’élevage de races artificielles, les éleveurs et les éleveurs utilisent comme guide la corpulence, la longueur du pelage, le type de motif, la couleur et d’autres facteurs similaires.
Mais personne n’élève des chats en fonction de leur comportement.
Pourquoi les qualités qu’on leur attribue « collent » aux rochers ? On peut remercier (ou blâmer) pour cela l’humanisation des chats et les stratagèmes marketing des éleveurs, qui ne disent généralement que du bien de leurs animaux de compagnie, les décrivant comme affectueux et non agressifs.
Pour résumer : des problèmes de comportement, notamment l’agressivité, la malpropreté, l’anxiété et autres, peuvent survenir chez absolument n’importe quel chat, qu’il soit de race pure ou non.
Tout comme « un chien ne mord qu’à cause de la vie du chien », le caractère d’un chat dépend avant tout de l’environnement et de l’éducation humaine, et pas du tout des gènes.